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| Auteur | Message | ||
yuyu
 Expert en bluff 
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Je ferai un débrief très contrasté une fois le jeu, enfin cette partie &, réellement achevée, il y aura des points positifs mais clairement des gros points négatifs !!! d'ici la fin de semaine si j'ai le temps 
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9198 messages |
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Zell
 Défieur 
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 En tous cas, j'ai très hâte de lire ton avis ! Je souhaite adresser mes plus plates excuses à mes lecteurs assidus pour mon retard. Je ne vous mérite pas. Je ferai un stand dédicace à la Fnac Montparnasse pour me faire pardonner.Alors, j’ai pas mal avancé en vrai depuis la dernière fois. J’ai entre autre passer tout le chapitre du Secteur 5 et je suis actuellement à l’entrée du Wall Market, juste eu le temps de visiter la zone mais je n’ai pas vraiment eu d’interactions pour le moment. Quelques déceptions à noter. Je pense que c’est aussi le gros ventre mou du jeu jusqu’à l’arrivée du Wall Market, qui, j’espère relèvera grandement le niveau. J’en entends beaucoup de bien mais en même temps, c’est mon passage préféré du jeu original sans contestation possible. Donc je serais clairement plus exigeant sur cette nouvelle proposition. - La VF toujours en dent de scie, mais je commence à m’y habituer notamment pour Aerith. La doubleuse en elle-même est bonne mais c’est chaud tant ça ne correspond pas à ma vision du personnage. En tous cas, je doute qu’elle me manque quand je passerai à un autre doublage. - Pour les qualités, c’est pareil. Bah le gameplay reste bien pensé, intuitif et stratégique. Les musiques sont toujours aussi remarquablement réadaptées, et pas juste plus jolies que l’original. On retrouve toujours un bestiaire fidèle, ce qui me surprend toujours étant donné que ça me remémore beaucoup de souvenirs. - Ah tiens oui, la direction artistique, j’ai souvent mentionné qu’elle était de qualité. Je n’avais pas vraiment fais attention à cela avant mais je trouve qu’il y a quand même très peu de copier-coller flagrant. Bien sûr qu’on va retrouver des PNJ identiques ou presque, bien sûr que certaines textures vont se ressembler. Mais pour de grandes zones comme le Secteur 7 ou 5, ça reste quand même bien foutu. Je trouve ça pas si simple que cela de créer une vie et une ambiance avec des habitants vivant littéralement dans des débris. En tous cas, j’y vois une cohérence dans leurs structures au sens propre et figuré du terme. Quand j’accède à la maison d’Aerith, ce n’est pas un simple fondu en noir avec changement total d’ambiance (de la verdure, de la lumière). D’ailleurs, j’adore la maison d’Aerith dans ce jeu ! Ils ont vraiment bien cerné ce côté solaire, hors du temps et sacré mais en même temps ancré dans cette environnement détruit par l’homme. Pour revenir au sujet, tout est bien meublé pour que ça paraisse crédible. Il y a un chemin qui prépare à la maison d’Aerith avec des détails ici et là dans le décor. On a pas juste un couloir vide avec deux trois cailloux. En fait, c’est ce que j’aime dans le jeu. On peut le catégoriser de jeu couloir, oui, pourquoi pas, même si je suis pas totalement d’accord. A côté de ça, j’aime comment sont construits ces couloirs. Regardez chaque chemin, chaque lieu de vie, qu’il s’agisse d’une échoppe, d’une usine désaffectée, d’une maison. Vous aurez une structure complétement différente à chaque mètre. Ce ne sont jamais deux maisons similaires posées à même le sol. Chaque bâtisse fusionne avec les autres pour donner cet amas de tôles et il y a, souvent, une logique dans cet environnement. Et c’est parce que c’est bien fait qu’on ne le remarque pas et que l’univers apporte lui-même sa propre cohérence. - Autre apartée sur les « couloirs ». Oui, ils peuvent sembler très dirigistes mais je ne m’ennuie pas car le level-design cherche à jouer sur la verticalité ou des détails dans le décor. L’idée d’ailleurs de faire traverser Cloud dans des espaces restreints est une bonne idée pour limiter les temps de chargement (comme les ascenseurs dans d’anciens jeux type FPS) mais aussi pour donner cette impression d’espace créé par l’humain mais qui n’est pas apte pour eux. Dans la mesure où les débris bouffent l’optimisation de l’espace alloué, ils peuvent simplement construire par-dessus quelque chose ou bien laisser des aires désolées à la merci de monstres, création de la pollution atmosphérique, création de l’homme. C’est malin, ludique, dans l’ère du temps et plus agréable que n’importe quel fondu au noir. Après, même si j’adore la mise en scène, je ne dirais pas non plus que le jeu réinvente sa conception du level-design. Il est ce qu’il est, pas désagréable bien foutu à mon sens, mais c’est trop peu souvent évoqué. Après, ça sera certainement selon la sensibilité de chacun. Je vois le Midgar de FF7 comme un jeu à couloirs, sans mauvaise foi aucune. Dans sa globalité, je trouve FF7 très dirigiste mais quel RPG japonais ne l’est pas face aux RPG US ? La World Map, pour moi, c’est du bonus parce que c’est agréable et plaisant (Ni No Kuni, Lost Odyssey, FF9 etc). On peut revenir dans des zones, tout ça. Mais généralement, le chemin est tout tracé même sur la World Map. C’est pas un reproche pour descendre FF7. C’est pour expliquer que les « couloirs » décriés sur le Remake, bah ils me dérangent pas plus que ceux de l’original. Après, je n’aime pas forcément tous les jeux à couloir. Ceux de FF10, je les adore pour les travelings mais je déteste ceux de FF13 parce qu’ils sont vides. - Pour faire la transition là-dessus, je pense que FF7 Remake se tire une balle dans le pied dans certains choix drastiques. J’aurai préféré qu’on ait pas de « chapitres » mais une aventure unique, quand bien même elle s’arrête à la fin de Midgar. Psychologiquement, ça donne l’impression d’un livre non fini même si cette première épopée va à son terme. Et puis, cette mini-carte, je la dégage dès que possible. On peut très bien se repérer dans le jeu. Je suis certain qu’on colle une mini-carte du même genre dans le FF7 original, ça devient très vite un défaut car on aperçoit vite les limites des zones. - J’adore vraiment le développement des personnages qui gravitent autour de Cloud. Je n’ai jamais autant apprécié Barret, Tifa et Aerith que depuis qu’ils fréquentent Cloud dans ce Remake. Comme je disais dans un message précédent, la relation entre Cloud et Aerith est touchante, mignonne et drôle. Quand Cloud parle avec Barret, c’est drôle car il y a un ton cynique constant. Avec Tifa, c’est extrêmement gênant pour elle car malgré certains efforts, il lui parle super mal et elle doit prendre sur elle. Leur relation est assez triste, surtout quand on voit celle d’Aerith. Quand on y pense, Cloud a perdu plusieurs années de sa vie, on sent que c’est sa première relation et j’aime bien comment le côté rentre-dedans d’Aerith le bouscule beaucoup. Détail tout con, mais je trouve que les missions du Secteur 7, et donc liées à Tifa, se portent beaucoup sur l’entraide, la gentillesse et l’empathie (plus la mission des chats qui a, apparemment, une connotation particulière avec le passé de Cloud et Tifa). Avec Aerith, forcément, on tombe sur des valeurs similaires mais on est quand même plus sur des quêtes pour « avancer ». Le personnage d’Aerith fait avancer l’intrigue dans le jeu de base, mais aussi dans le Remake à sa façon. Entre autre, on accueille la demande d’un vieillard de se recueillir à sa place avant de passer à autre chose, « d’avancer ». Idem pour l’orphelinat et de ces enfants qui se battent pour leur prochain. On sent très vite l’inspiration d’Advent Children, sur la génération qui va construire demain et accessoirement, celle qui doit à tout prix éviter toute corruption avec la Geostigma, métaphore bien sûr de l’abandon du passé, de la Shinra, de Jenova et de Sephiroth. Ca m’étonnerait franchement pas que le scénario du jeu parte vers la piste de On the Way to a Smile, ce qui ne serait pas une mauvaise idée en soi. Enfin bref, j’adore le côté pétillant d’Aerith. Bien entendu, on pense à une relation sentimentale mais j’aime beaucoup comment elle jongle avec ce côté grande sœur malgré tout (Cloud a j’imagine beaucoup souffert de perdre son père et d’être enfant unique). C’est très particulier. C’est naturel, sans en faire trop. Ce qui devait devenir le nouveau lieu à quêtes fedex est en réalité une promenade pleine de vie avec Aerith. Toujours le juste milieu. Pas trop de quêtes ni pas assez. C’est pas toujours fin ni dingue. Ca se laisse traverser et ça permet de passer du temps avec Aerith. Autant le fait de rester un moment dans le Secteur 7 me plaisait parce que ça faisait sens, autant le Secteur 5, je ne comprenais pas pourquoi Cloud ne rentrait pas aussitôt alors que Tifa est probablement morte d’inquiétude. Ce ventre mou passe finalement mieux que prévu grâce à Aerith. - Moins fan du gameplay d’Aerith. Je ne m’attendais pas du tout à un personnage à charge, surtout pour une magicienne. C’est peut-être le côté « inactif » qui me déplait un poil, mais à voir au long terme. Pas déçu de ses compétences spéciales, c’est très role play, comme les trois personnages précédents. Tout est axé autour de la magie forcément. Ca m’étonnerait franchement pas que ça devienne rapidement un personnage spécialisé dans le debuff et le nerf. En tous cas, c’est un personnage qui peut rapidement obtenir des compétences à stratégie (elle a Magie-W déjà) et qui peut grandement servir pour des associations intelligentes avec les matérias. D’ailleurs, je suis plutôt fan des nouvelles materias, surtout celles liées à ce nouveau gameplay comme la matéria rose « Esquive offensive » ou celle qui pousse un personnage non joué à utiliser une magie pour 0 mp quand tu utilises des magies. - Assez déçu qu’on ne profite pas de ce nouveau scénario pour visiter d’autres secteurs. Même dans Crisis Core, je n’ai pas l’impression que le jeu se permette autant d’écarts, qui n’en sont pas vraiment tant que ça enrichit le background et l’impression de diversité entre les quartiers. A chaque opus, je trouve que ça reste très timide sur Midgar et sur son immensité. - Avant de passer à ce qui m’a le plus chagriné, pêle-mêle, quelques détails qui m’ont un peu gêné : • Pas de photo du mari d’Elmyra dans sa maison (par contre il y a cinquante photos de son jardin  )• Rude est plus bavard que dans le jeu de base mais ça va, ça passe. Je m’attendais à le voir moins loquace. Rien à voir avec les défauts mais vu que j’aborde le cas de Rude, j’aime beaucoup comment le jeu te déconseille de l’affronter au corps à corps tant c’est une brute à ce niveau-là. • J’ai rien réussi à voler avec la materia jaune « Vol » depuis le début du jeu. Quelle materia de merde sérieux !! • Les musiques à la radio intrinsèques. C’est un tue-l’ambiance ce truc. Le pire, c’est qu’on ne peut même pas les couper. Moi, ça me fait clairement fuir de la zone que je visite. - Gros mais gros gros bémol pour le passage après le Secteur 5. Il commence et il finit bien à mon sens (je vais y revenir) mais ce qu’il y a en plein milieu pour moi, c’est le pire de ce que j’ai vu du jeu pour le moment. Je défendais le jeu sur sa linéarité qui n’était pas un défaut en soi, mais quand j’ai joué à ce passage, je me suis dit que je faisais face à l’exception. C’est dirigiste et ça ne s’en cache pas. Les bras-grue m’ont fait chier à un point pas possible même si j’ai aimé le clin d’œil au jeu original. Les décors ne font pas rêver. Et puis, les trois lascars, mon dieu … J’étais tellement gêné devant mon écran. Typiquement un dialogue comique qui fonctionne mieux en VO (comme ceux de Wedge ou de Rochey). La musique ne m’a pas déplu mais j’ai eu beaucoup de mal à m’immerger dans cette ambiance avec cette résonnance electro / trance. Dans un FF13-2, ça ne me dérange pas mais là, ça dénotait trop par rapport au reste de l’OST. Enfin, j’ai du mal mais pris séparément, ouais, j’ai rien contre. - Le délire du high five. Je l’ai trouvé trop appuyé. Oui, je me souviens que Cloud a ignoré la tentative de Tifa au début du jeu. En fait, c’est trop « japonais » dans l’approche à mon sens. Non pas que le jeu ne l’est pas, deux poids deux mesures. Mais on voit rapidement où le jeu veut en venir : Cloud a du mal avec les interactions sociales, il a peur de s’engager dans quelque chose qui le dépasse. Il a maîtrise complète de son corps dans les combats mais il a du mal à faire un avec lui-même lorsqu’il s’agit de s’ouvrir. Il est très premier degré et il indique sans problème qu’il n’appréciait réellement personne à la Shinra. Aerith, elle, exprime son regret d’avoir été longuement seul (d’où peut-être son excès d’optimisme quand elle veut faire le high five). En plus, Cloud regarde sa main gauche, c’est un peu le b.a.ba pour indiquer que c’est sa main faible, sa faiblesse (ici pour les interactions sociales). C’est de la main droite qu’il va finalement lancer l’ultime high five qui va combler Aerith (et c’est elle qui porte le mouvement devant l’effort de Cloud). D’ailleurs, malin pour les développeurs d’avoir fait une QTE aussi longue : c’est un loading caché et ça montre la difficulté de Cloud avec les interactions hors combats. J’ai compris tout cela. Mais j’ai été du mal probablement à digérer cette volonté de bien faire dans ce chapitre qui est certainement le moins bon du jeu pour le moment. - Bon sinon, comme d’habitude pour la bande-son, c’est toujours top (hormis dans le chapitre précédent où j’ai eu du mal avec tout par ailleurs). Déjà, chapeau à la musique « Hollow skies » du Secteur 5 qui est vraiment très très belle. Pas ma préférée du jeu mais elle confère une ambiance à la fois chaleureuse et triste en même temps. Ca correspond vraiment à l’idée que je me fais du personnage d’Aeris et du secteur qui la caractérise (j’y reviendrais). Pour le reste, j’aime beaucoup comment le jeu réutilise des musiques qui ne devraient pas apparaître à ce moment précis de l’histoire. La façon dont ils ont rattaché « Holding my thoughts in my heart » avec le flashback très succin sur la mère de Cloud m’a beaucoup plu. En fait, le jeu sait ce que représentent ces musiques et sait comment détourner les codes de chacunes d’entre elles pour apporter une signification plus prononcée à ces nouveaux passages. Pour moi, ce n’est pas du tout du recyclage mais une réadaptation intelligente d’une bande-son qui a fait ses preuves. - Maintenant, en un mot, ce que j’ai adoré depuis mon dernier pavé : Aerith. Encore une fois, je ne suis pas un grand fan de ce personnage ni de celui de Tifa ou de Barret. Pourtant, le jeu a réussi à trouver ce petit quelque chose qui m’a fait m’attacher à ces trois protagonistes. Mais Aerith, c’est un cas à part. Encore une fois, la relation avec Cloud est vraiment touchante et agréable à suivre. Ca se cherche, il y a un jeu taquin de domination entre les deux, très souvent du côté d’Aerith pour se désemparer Cloud mais c’est très léger. En fait, Cloud est peut-être le seul des quatre personnages que j’ai le plus de mal à reconnaître. Encore une fois, on pourrait se dire que c’est le même Cloud, qu’il a simplement plus de lignes de dialogue qu’auparavant. Je n’en suis pas si certain. En réalité, Cloud a beaucoup trop de fois vu Sephiroth depuis le début du jeu et je maintiens tout à fait que ce dernier a altéré son comportement. Plus orgueilleux, plus froid, plus violent que dans le jeu de base. On reste dans le même ordre d’idée du personnage mais il a des réactions beaucoup plus imprévisibles. Pire encore, même si ça ne transparait pas, il n’a plus la même empathie envers Tifa. Il avait un minimum d’affection pour elle dans l’opus original. Là, Tifa souhaite toujours le (re)découvrir mais elle a peur de lui. Il ne cherche pas à rentrer au Secteur 7 au plus tôt pour ne pas l’inquiéter. Il élude très vite le sujet quand Aeris le questionne à propos d’elle. Quand il retrouve Tifa dans la charrette, il ne s’inquiète pas pour elle. Il acquiesce simplement quand elle lui demande de la laisser et ne cherche pas à lui porter un quelconque secours. Enfin, je sais pas, mais malgré tout ce qu’on peut reprocher à Cloud dans le jeu de base, vous croyez qu’il aurait laissé une telle chose ? Laisser Tifa aller seule chez Don Cornéo et dans le secteur le plus malfamé de Midgar ? Sérieusement ? Je vais peut-être aller loin dans l’interprétation mais je juge uniquement avec mon ressenti. Aerith n’est pas qu’un personnage féminin fort. C’est elle qui remet Cloud sur les rails à l’insu du joueur, c’est le personnage qui guide le scénario pour son importance narrative mais par ses actions qui « débloquent » Cloud. • Lorsque Cloud a une vision de Sephiroth car il a été en contact par un homme contaminé par Jenova, c’est Aerith qui dissipe cette influence néfaste par sa volonté et sa présence. D’ailleurs, c’est une action qui passe par les mains (que ça soit pour l’homme masqué ou pour Aerith) et en parallèle avec ce que je disais sur le high five, les deux utilisent la main gauche, la main de la faiblesse. • Aeris est consciente que le Sephiroth de sa time-line a probablement disparu, d’où sa réaction « étrange ». Je suis de plus en plus sûr que le Sephiroth de FF7 Remake n’est pas celui de FF7 mais de FF7 Advent Children. Le fait qu’il veuille dépasser son stade de « souvenir », qu’il ne fait jamais allusion au FF7 de base quand Cloud rétorque qu’il l’a tué dans le réacteur (ou même dans le cratère nord). C’est clairement un Sephiroth post-FF7 et il y en a qu’un seul en réalité : Advent Children. Le combat des enfants, la musique « The Promised Land » au début du jeu juste après la première apparition de Sephiroth. Ca fait quand même pas mal d’indices pour supputer ce lien. En plus, FF7 Ever Crisis souhaitait inclure Advent Children dans son novueau lore. • Je suis presque sûr qu’Aerith a davantage conscience du rôle des fileurs. Comme dit précédemment, elle protège Cloud par les mêmes moyens que Sephiroth l’attaque. Mais je pense qu’elle peut empêcher l’apparition des fileurs. Un exemple parlant quand Cloud allait retourner au Secteur 7 en laissant Tifa partir seule en connaissance de cause, c’est Aerith qui retient Cloud (par les mains encore une fois et toujours et encore de la main gauche de Cloud si je ne dis pas de bêtise). Quelle conséquence cela a ? Les fileurs n’ont aucune raison d’apparaître car Aerith a maintenu le cours du temps. La porte du secteur se ferme devant Cloud, ne lui laissant plus d’autre choix que de suivre Aerith. Elle a littéralement fermer la porte de l'inconnu. Clairement Aerith commence certainement à deviner la méprise envers les fileurs à venir. Et ce qui est magique encore une fois, c’est qu’il y a encore ce double niveau de lecture. Aerith protège le joueur et Cloud de ces nouvelles dérives, mais en même temps, ça reste totalement conforme à son caractère. En plus, Aerith rétorque à Cloud que Tifa est quelqu’un d’important pour lui, qu’il faut lui venir en aide. Je ne crois pas avoir loupé de dialogues mais je n’ai aucun souvenir d’avoir entendu Cloud parler de Tifa en profondeur. Aerith a juste cherché à demander de qui il s’agissait et le sujet a vite été éludé. Ce n’est pas n’importe quelle Aerith encore une fois, c’est la nôtre. Celle qui connait Tifa, celle qui connait Cloud et qui souhaite qu’il redevienne celui qu’elle a connu (d’où son impression très déçue devant son manque de réactions un peu plus tôt). C’est celle qui a remis Cloud dans le droit chemin depuis l’église. Il n’y a plus aucun problème de fileurs depuis. Pour moi, Aerith, c’est un personnage incroyablement fort dans cette nouvelle version de FF7. Il y a une épaisseur insoupçonnée dans l’écriture d’Aerith. Au-delà d’être un personnage meta, c’est un personnage fort qui sait solidifier le récit et l’empêcher d’aller dans ses travers grâce à l’influence qu’elle exerce sur Cloud. Il a un tel sous-texte dans chacune de ses phrases. J’ai d’ailleurs adoré la référence très subtile à la Forêt Endormie lorsque Aerith retrouve Cloud à la sortie du Secteur 5 : elle apparaît et part exactement de la même façon (plus les flash qui changent légèrement l’ambiance mais assez pour qu’on fasse un parallèle). Et ce passage-là est tellement clé. En vérité, j’ai trouvé que c’était une baffe. La résonnance avec ce moment du jeu original (qui signifie la fin d’Aerith avant son heure), les premières notes d’ « Opening – Bombing Mission » qui sont associées à Aerith et qui fait un peu office de boucle avec la fin de FF7. La larme de Cloud. Mon dieu. Ce passage m’a tellement affecté en vrai pour tout ce qu’il signifie implicitement. Et le passage du parc de jeux, c’était l’apothéose. Mais surtout, un détail tout con mais qui a une importance de dingue. Je me demande même si la VF ne s’est pas plantée à ce niveau-là pour vous dire l’importance de la réplique. Lorsqu’Aerith parle de Zack, elle mentionne dans cet ordre-là : « Ca me rappelle un ami » puis « C’est le premier garçon que j’ai aimé ». Le choix et l’ordre des mots a quand même son importance qui signifie que Cloud compte plus que Zack alors qu’elle n’est pas censée le connaître. Pour moi, on a les deux Aerith qui parlent et qui réunissent les mêmes sentiments, la même tristesse. La première, celle du FF7 original qui a senti la « voix » de Zack partir quelques jours avant (dans l’ending de Crisis Core) et qui a peur d’aborder le sujet. Et l’autre, la Aerith post-FF7, qui est passée à autre chose, qui a des sentiments pour Cloud et pour qui ça lui fait mal de se dire qu’elle doit suivre le fil rouge du scénario (c’est-à-dire respecter les dialogues du jeu de base) mais qui souhaite profiter tant que possible de Cloud. Son rapprochement au toboggan m’a fait un quelque chose. Lui, garde ses distances comme à l’accoutumée, et elle, elle veut être proche de lui autant que possible. C’est trois fois rien, mais c’est touchant, triste, drôle et beau. La tristesse qui se dégage du regard d’Aerith m’a vraiment secoué. Son pincement de lèvres, ses yeux subtilement pétillants. Et elle m’a juste achevé avec sa réplique suivante « Allez, oublions le passé ». Comme si elle se remettait à sa place, elle sait qu’elle ne peut pas en attendre plus de son destin et elle sait comment ça va se finir. Son rôle est juste de rester en retrait et de jouer son rôle au mieux en faisant volontairement fi de ses sentiments. C’est en tous cas mon ressenti sur ce personnage. - « Petits détails à la con » : • Cloud a des grains de beauté sur les bras. Je suis tombé dessus vraiment par hasard. Je n’ai pas pu vérifier avec Aerith à cause des angles de caméra (même avec le mode photo). C’est vraiment le genre de détails discret, auquel tu ne fais pas gaffe en voyant le personnage mais c’est là quand même. • On peut faire du toboggan au parc de jeux. Je pense pas qu’on tombera sur un chapitre plus ennuyeux que celui-ci en vérité. Probablement qu’il va y avoir des divergences d’opinion vers la fin du jeu mais ça ne sera pas probablement aussi mou que ça. Pour le reste, très hâte d’aller au Wall Market et de voir ce qu’ils ont pu en faire. Et toujours épaté par le travail d’écriture. Vraiment, je suis complètement admiratif du travail sur Aerith et Sephiroth. Encore une fois, ça touche mon coeur de joueur, de fan de FF7 tant ça dépasse son simple statut de jeu vidéo, de média. [Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 04 janvier 2022 à 01:07] |
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Eléo
 J'peux pas, j'ai... 
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 Par contre, j'ai adoré l'épisode du high five que j'ai trouvé bien pensé et la rencontre avec Beck's Badasses. Le remix de la musique est une de mes favorites et moi, les dialogues m'ont bien fait rire. Mais peut-être qu'ils passent en effet moins bien en VF, à voir.Pour le comportement de Cloud beaucoup plus violent et haineux, ça se tient à toute l'analyse que tu as déjà fait et à une seule réplique d'une des personnages du jeu passée il y a longtemps. Curieux que tu ne l'ai pas relevé.  Ou alors j'ai loupé ton analyse, mais la comportement de Cloud a l'air de te surprendre, donc, je ne sais pas.Zell a dit : J’ai d’ailleurs adoré la référence très subtile à la Forêt Endormie lorsque Aerith retrouve Cloud à la sortie du Secteur 5 : elle apparaît et part exactement de la même façon (plus les flash qui changent légèrement l’ambiance mais assez pour qu’on fasse un parallèle). Et ce passage-là est tellement clé. En vérité, j’ai trouvé que c’était une baffe. La résonnance avec ce moment du jeu original (qui signifie la fin d’Aerith avant son heure), les premières notes d’ « Opening – Bombing Mission » qui sont associées à Aerith et qui fait un peu office de boucle avec la fin de FF7. La larme de Cloud. Mon dieu. Ce passage m’a tellement affecté en vrai pour tout ce qu’il signifie implicitement. J'ai pleuré. Cette scène dure quelques secondes, mais c'est tellement un bijou de mise en scène, sérieusement... Elle m'a totalement retournée les tripes. Comme tu le dis, tout est parfaitement travaillé: Aerith qui s'éloigne, va de l'avant seule, les quelques notes de musiques, les visions, la larme de Cloud... Putain.  J'ai trouvé aussi qu'on avait un ventre du mou dans le jeu à ce moment, sans que ça soit horrible pour autant. Personnellement, j'ai beaucoup aimé le Wall Market du Remake, mais je conçois que certains fans puissent ne pas apprécier. Comme d'habitude, j'attends donc ton avis avec impatience. Toujours un grand merci pour ce pavé bien écrit.  [Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 04 janvier 2022 à 08:17] FFVII: Heritage - Les IRLs en video |
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| yuyu
Expert en bluff
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Franchement j'ai bien aimé le jeu sans pour autant le trouver génial, je lui mets un 14/20. En tout cas c'est clairement le meilleur jeu vidéo auquel j'ai joué en 2022 Je ne me rappelle plus trop des 2 premiers chapitres, je les ai fait y a plusieurs mois, je me rappelle juste qu'ils m'avaient plutôt mis en colère. Le chapitre 3, grâce à mex et acro ne m'a pas paru si catastrophique même s'il je ne l'ai pas aimé non plus. J'ai vraiment aimé le wall market et le cimetière des trains, au contraire j'ai été plutôt déçu par le bâtiment shinra, je n'y ai pas retrouvé cette atmosphère si pesante que dans l'original même si avec les laboratoires d'hodjo, ils ont essayé de la reproduire, ça n'a pas marché sur moi, dommage, d'autant plus que c'est mon passage préféré ou l'un de ceux, de l'original... Le système de combat est bof, en fait, j'ai trouvé les combats trop faciles, et j'ai trouvé les bonnes formules assez rapidement pour les combats moyennement difficiles, cependant je dois reconnaître que des efforts ont été fait pour que la stratégie ait une place significative et du coup je n'ai pas été déçu par cet aspect alors que c' est celui qui me faisait le plus peur. J'ai aimé Tifa Barret et aéris et pas du tout cloud, encore moins que dans l'original, mais pas de soucis, par contre je trouve que les relations qu'il entretient avec les autres protagonistes sont assez similaires que dans l'original, attention je pense que certains choix peuvent influencer son comportement dans la suite du jeu, perso c'est Tifa qui m'a rejoint en 1er face à sephiroth alors que j'ai cru comprendre que pour certains ce fut aéris. Bon commençons doucement sur les points qui m'ont un peu dérangé, les musiques, notamment celles qu'on doit acheter/trouver, elles n'étaient pas forcément appropriées à l'endroit et ont souvent gâché mon immersion. Les graphismes, sûrement à cause de RDR2, sûrement aussi à cause des cinématiques de l'original, qui pour moi étaient du jamais vu à l'époque, mais franchement je m'attendais à mieux. Genre quand on marche, que mes coéquipiers deviennent transparents ou passent à travers moi quand je monte/descends une échelle, c'est sérieux ça ? Ouh la la... Les quêtes évidemment, le pire ce sont celles du chapitre 14, non pas qu'elles soient nulles, mais elles n'ont rien à faire ici, mon immersion a été cassée mais sérieusement cassée, j'étais deg... Sinon revenons en au scénario, aéris sait elle ce qui l'attendait si elle ne brisait pas le destin ? Si oui est ce vraiment dans son caractère de prendre le risque que la planète soit détruite pour sauver sa propre vie alors que dans l'original elle semblait savoir qu'elle fallait qu'elle se sacrifie pour sauver la planète. Nanaki sait il également plus que ce qu'il en dit ? En passant les fileurs ils changent le destin, d'accord, mais zack n'est pas censé être déjà mort à ce moment là du jeu ? Les fileurs tuent wedge en personne mais biggs est sain et sauf, n'est ce pas de la grossophobie ? Sephiroth qui dit que maintenant l'avenir dans lequel nous nous lançons n'a encore jamais été écrit, (mais c'est déjà le cas pour le passé hein puisque des gens censés être morts sont vivants) cool, maintenant les développeurs peuvent faire ce qu'ils veulent. (D'ailleurs il me paraît clair que tout ça est mis en scène pour éviter la mort d'aéris, si c'est le cas, les gars sont tout sauf des génies, par contre si elle meurt mais à un autre endroit du jeu, là je dis pas, je serai les premiers à les acclamer...) Pire sephiroth qui demande de l'aide à cloud, WTF, zell qui évoquait des pieds de nez, okay pourquoi pas mais faut pas abuser. Dans l'original, cloud avait peur de découvrir la vérité mais surtout il avait peur de sephiroth, autant de peur que de haine que, par le passé, d'admiration. Là à aucun moment on ne ressent la grandeur de sephiroth, il est devenu un clown... Vraiment ce qui me manque le plus, c'est l'ambiance, l'atmosphère n'est clairement pas la même et mon immersion s'est vue négativement touchée par ce point. Cela dit malgré tout, j'ai trouvé le jeu suffisamment bon et entraînant malgré ses lacunes pour avoir envie de faire la suite, puis je suis curieux. Pour résumé, c'est un bon jeu, je dirai même que c'est un bon FF, mais c'est un FF7 de merde xD [Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 04 janvier 2022 à 09:16] |
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Acro
 Administrateur 
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Je pense aussi comme toi que pas mal de choses sont très bonnes dans le jeu, et j'ai hâte de pouvoir l'avoir à nouveau (ainsi qu'une PS4) pour m'en rendre compte, mais c'est clair que les quelques points que tu soulèves (perte d'immersion, Tour Shinra bof, changement radical de l'histoire pour éventuellement ne pas faire mourir Aeris, qui pourtant est censée mourir pour sauver la Planète...) ne me donnent pas trop envie. Je suis toujours aussi attristé qu'ils soient partis dans ce délire avec tout le potentiel qu'ils avaient, au lieu de simplement suivre la trame du jeu d'origine en étoffant comme ils l'ont étoffé, ce qui aurait plu à tout le monde.
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| Eléo
J'peux pas, j'ai...
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FFVII: Heritage - Les IRLs en video |
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| Zell
Défieur
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Eléo a dit : Par contre, j'ai adoré l'épisode du high five que j'ai trouvé bien pensé et la rencontre avec Beck's Badasses. Le remix de la musique est une de mes favorites et moi, les dialogues m'ont bien fait rire. Mais peut-être qu'ils passent en effet moins bien en VF, à voir.Avec du recul, j'aime bien les musiques associées au chapitre, ouais. Mais sur le coup, j'ai trouvé ça un peu hors-sujet même si ça préparait doucement au Wall Market. Pour le moment, c'est le seul passage que je qualifierai de trop. Trop long, pas assez fun. Après, j'aime bien car il y a Aerith bien sûr. D'ailleurs, j'ai pas vu la maison folle dans ce passage et je suis presque sûr d'en avoir entendu parler. J'adorais tellement cet ennemi dans le jeu de base, j'espère qu'ils lui ont laissé un beau rôle au Wall Market.  Eléo a dit : Pour le comportement de Cloud beaucoup plus violent et haineux, ça se tient à toute l'analyse que tu as déjà fait et à une seule réplique d'une des personnages du jeu passée il y a longtemps. Curieux que tu ne l'ai pas relevé. Ou alors j'ai loupé ton analyse, mais la comportement de Cloud a l'air de te surprendre, donc, je ne sais pas.Oui, j'en arrive à cette conclusion mais je voulais juste faire remarquer que le rôle d'Aerith est d'empêcher la venue des fileurs car Cloud a beaucoup trop changé par rapport au jeu de base (même si on reste sur les mêmes bases). Je voulais juste mettre en évidence qu'il n'y a pas besoin de fileurs pour que le jeu diverge. Cloud le fait tout seul - à cause de l'influence exercée par Sephiroth - et quand on lit entre les lignes, on comprend à quel point Aerith est un guide pour le joueur et pour Cloud. Mais elle le fait également pour elle-même car, Tifa tout comme elle, sont vraiment tristes de voir Cloud se perdre. Ce qui fait que je trouve ce personnage vraiment extra pour le moment pour moi au même titre que Sephiroth. yuyu a dit : Pire sephiroth qui demande de l'aide à cloud, WTF, zell qui évoquait des pieds de nez, okay pourquoi pas mais faut pas abuser. Dans l'original, cloud avait peur de découvrir la vérité mais surtout il avait peur de sephiroth, autant de peur que de haine que, par le passé, d'admiration. Là à aucun moment on ne ressent la grandeur de sephiroth, il est devenu un clown... Ben en vrai, le pari est réussi car c'est le but d'énerver le joueur en détruisant son image et de changer le cours du jeu grâce à ça. :p Ca aurait pu être fait d'une autre façon, ouais, je suis d'accord. Si on était resté avec un Sephiroth complètement charismatique et terrifiant, l'aspect meta y perdrait complètement. Pour moi, c'est l'aspect meta qui apporte une énorme profondeur à l'oeuvre. Ce n'est pas juste un à-côté. En vrai, je n'ai jamais vu un jeu avoir autant conscience de l'impact qu'a eu son ainé. Et il en joue à chaque instant. Pour le reste, encore une fois, je comprends complètement ton point de vue et je n'irais pas du tout le juger même si pour toi, c'était la pire expérience vidéoludique de ces dix dernières années. C'est une expérience qui est faite pour diviser même si elle réunit les mêmes personnes. Acro a dit : Je suis toujours aussi attristé qu'ils soient partis dans ce délire avec tout le potentiel qu'ils avaient, au lieu de simplement suivre la trame du jeu d'origine en étoffant comme ils l'ont étoffé, ce qui aurait plu à tout le monde. Perso, ils auraient fait FF7 en HD ou un FF7 Remake qui suit la trame au mot près, j'aurai été content vu comment ils gèrent niveau technique. Mais j'ai personnellement envie qu'ils me surprennent. Comme je l'évoquais à l'IRL, j'aimerais bien qu'ils aillent dans un délire à la Rudora no Hihou. C'est un jeu où tu suis trois aventures différentes, qui se croisent. Et tu peux les faire l'une après l'autre, ou alternativement selon ta convenance. J'aimerais bien qu'ils trouvent quelque chose pour jouer plusieurs time-line en même temps (FF7 / FF7 Remake post-fileurs / FF7 avec Zack en héros qui débarque à Midgar). Je ne sais pas ce qu'ils pourraient faire avec une telle idée mais, hé. Je leur fais confiance. Ils ont bien réussi à faire un jeu plus riche qu'il n'y parait dans son écriture malgré les failles évidentes d'un tel concept. Et s'ils se plantent, ben dommage. Mais en l'état, il y a plus de chance qu'on se rappelle de ce FF7 Remake comme étant un vrai jeu à part entière qu'un simple portage techniquement abouti. |
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| yuyu
Expert en bluff
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et je n'ai pas aimé le rôle de sephiroth, quant aux restes soit des choses m'ont un peu dérangé soit à l'inverse j'ai bien aimé, et le jeu m'a vraiment donné envie de voir sa suite, sans ironie. D'ailleurs oui la maison folle apparaît au wall market et je pense que ça a été mon combat préféré, c'est également je crois, sauf si un autre combat m'échappe, le plus stratégique, vraiment un passage cool. Mais pour revenir sur la comparaison avec son aîné, en fait je trouve que l'original a inventé quelque chose alors que le remake non, mais sans comparaison aucune, si je prends le remake comme un jeu à part entière, le jeu m'a plu, je l'admets sans souci. @Eleo : c'est peut-être aussi pour ça que je n'apprécie pas le concept, la seule chose que j'aime dans la compilation c'est FF7, les autres jeux soit je n'y ai pas joué du tout, soit j'ai abandonné en cours de route parce que la mayonnaise n'a pas pris, ce qui est le cas de CC, et je ne suis pas très fan d'advent children... Donc forcément ça allait être dur de me faire apprécier un opus où tout se regroupe un peu, et c'est certainement aussi à cause de ça que je pense qu'ils sont tombés dans la facilité et que ce ne sont pas des génies, mais encore une fois, le jeu dans sa globalité est cool et je ne regrette pas d'y avoir joué et crois moi c'était pas gagné après les 2 premiers chapitres. Voilà en tout cas je jouerai aux suites si j'en ai la possibilité, clairement je vais être scandalisé quand ce sera fini et que aéris sera toujours en vie, clairement je vais dire que c'est de la grosse merde, mais je suis quasi sûr que je vais apprécier le tout dans la globalité, d'ailleurs je ne voulais pas entendre parler d'intergrade, et j'ai radicalement changé d'avis grâce au remake, je vais y jouer. [Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 04 janvier 2022 à 19:50] |
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RJ
 Rabat-Joie 
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Après c’est plus difficile de réinventer un genre ou d’innover avec l’offre actuelle et les avancées techniques. |
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| Eléo
J'peux pas, j'ai...
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FFVII: Heritage - Les IRLs en video |
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| Zell
Défieur
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RJ a dit : C’est ce que je dis. C’est un jeu de son temps. Il est bien mais rien d’exceptionnel par rapport à d’autres productions d’aujourd’hui contrairement à FFVII en 97. Après c’est plus difficile de réinventer un genre ou d’innover avec l’offre actuelle et les avancées techniques. Ah mais totalement d'accord. Surtout que FF7 était une découverte générale pour les nouveaux joueurs de RPG mais il apportait également sa patte au genre. S'il y a quelque chose qui va probablement rester du jeu à l'avenir, pour moi, c'est son scénario qui ose quelque chose et qui - là où j'en suis - réussit un pari meta hyper risqué et casse-gueule (je ne parle même pas de ce changement de time-line de la fin, pour moi, c'est du détail à côté du reste ça). Eleo  Pas de pavé ce soir, j'ai vraiment envie de continuer. En tous cas, le chapitre du Wall Market a été une tuerie. 4-5h d'affilée sur le chapitre et je n'ai pas vu le temps passer. C'est complètement différent du Wall Market de mes souvenirs, malgré des clins d'oeil ici et là, mais woaw. J'ai tout kiffé dedans.Et le combat contre la Maison. Mon dieu ... Top 3 direct de mes moments préférés du jeu pour le moment. Ca a été une tuerie absolue ce combat. A tous les niveaux.
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Guix
 Jeune Cloud 
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Avec le recul, le gameplay qui m'a plu au premier abord me laisse sur ma faim. Il est bien pensé, fluide, équilibré, ergonomique, par contre, je lui reproche d'être de ceux où, une fois que tu as choppé la taichenique, tu es quasiment invincible. Et il manque d'une difficulté very hard selon moi. Avec le recul aussi, je ne crois pas avoir joué à un autre jeu qui soit aussi généreux sur l'histoire qui est racontée. Même un jeu du genre Uncharted qui raconte une histoire, ça me semble infiniment moins détaillé que l'histoire que raconte un FF7 Remake (je reconnais que ça se fait parfois au détriment du rythme pour le joueur). |
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| Eléo
J'peux pas, j'ai...
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FFVII: Heritage - Les IRLs en video |
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Joberoly
 Psychopathe 
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C'est marrant en combat comment le mec se repositionne correctement pour rester fidèle au jeu de base^^. Et j'aime assez bien les plans fixes. [Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 09 janvier 2022 à 14:31] "Ce que nous appelons progrès, c'est souvent la résolution des problèmes posés par ce qu'on a appelé progrès à l'épisode d'avant". Marc-André Selosse. |
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| Zell
Défieur
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J’avais vraiment pour objectif de dépeindre mon avis de manière régulière jusqu’à la fin du jeu. J’ai finalement terminé le jeu depuis le Wall Market en quelques jours. J’ai vécu, senti cette montée d’adrénaline à partir du Wall Market. Non pas que le jeu soit un sans-faute par la suite, notamment à cause de certains choix d’approfondissement que j’ai jugé mal venus, j’ai été emporté par ce flot qui m’a embarqué et parfois retourné. Je vais pas le cacher d’entrée de jeu, ce jeu m’a collé une baffe mais j’y reviendrais dans mon avis définitif que je tenterais de nuancer au maximum. Pour l’heure, même si mon avis n’est plus à chaud, je vais tenter de mettre des mots aux sensations que j’ai eu dans l’ordre chronologique de l’aventure. J’essayerais de pas divulguer, à ce moment T de l’aventure, des éléments dont j’aurai connaissance plus tard. - Petite apartée sur mon avis précédent. J’avais omis d’indiquer qu’Aerith connaissait effectivement un raccourci moins dangereux mais qu’elle a quand même préféré faire ce long périple avec Cloud. Encore une fois, j’adore cette facette d’Aerith. Cette confiance qu’elle a en Cloud, le fait qu’elle veille passer plus de temps avec lui, profiter de tous ces moments avant l’irreversible. - Je vais d’ailleurs être cash. Le Wall Market est, pour ma part, le meilleur passage du jeu. Malgré les divergences d’opinion sur certains choix scénaristiques, j’ai trouvé que c’était le passage le plus maîtrisé du jeu. Il y a des scènes par la suite (ou même antérieures comme la tristesse d’Aerith dans le parc de jeu) qui m’ont chamboulé. Mais le Wall Market, c’est une ambiance de dingue, un rythme soutenu, un hommage mais plus que cela encore et surtout une générosité à toutes épreuves. D’un point de vue ludique, le Wall Market remplit toutes ses promesses. Je ne vais pas cacher le scepticisme qui me rongeait quand je lisais ici et là que le chapitre était réussi. Pour replacer le contexte, le Wall Market, c’est clairement mon coup de cœur de l’original. J’y adore tout : la musique Oppressed People, les quêtes, le travestissement de Cloud, les scènes aussi malaisantes que jouissives (Mukki, les abeilles, le travestissement, Don Cornéo). Et ce nouveau Wall Market, eh bien, j’y crois. Ce n’est pas mon Wall Market, c’est un nouveau Wall Market. Un Wall Market qui pourrait sembler plus aseptisé, plus dans l’ère du temps où on ne peut plus rien dire, ni montrer là où la force de l’original, c’était de jouer sur notre imagination à travers ces pixels et ces dialogues implicites. C’est un Wall Market avec une foule, plus conçu comme une foire avec ces nombreux panneaux et néons. Mais ça reste un Wall Market dangereux sur bien des points. Ce n’est juste pas le même Wall Market. - Pour autant, j’ai quand même relativement bien apprécié les nombreuses références à l’ancien Wall Market qui s’intègrent très bien à ce nouveau cru. Pêle-mêle, la cabane avec l’arme automatique défaillante (qui est normalement pensée pour être un distributeur d’objet dans le Remake), le magasin de materias avec son ambiance mystique, la statue de chat devant un des magasins, le tas de ferrailles dans le magasin d’armes, le karaoké du bar. Il y a toute une quête du Wall Market qui se concentre sur les passages clés du jeu original : le restaurant, le coupon pharmacie, retrouver le propriétaire du magasin de vêtements etc. Mais globalement, ça passe par beaucoup de détails qui vont parler ou non au joueur selon les souvenirs de chacun. - Parmi les nouveautés, j’ai adoré l’arrivée des trois nouveaux PNJ qui ont une importance relative dans la gestion du Wall Market. J’avais vraiment peur que ce passage soit rallongé pour être rallongé. En vérité, je pense qu’il s’agit des meilleurs personnages créés pour l’occasion du Remake. Chocobo Sam, Madame M et Andi ont tous une personnalité propre, une manière d’interagir entre eux. En aucun cas, ces trois-là n’auraient dépaysé dans le Wall Market du FF7 original. Clairement, ils apportent ce petit quelque chose en plus à leur façon. Gros coup de cœur, comme beaucoup, sur Madame M qui est un personnage drôle, charismatique et qui fait surtout sens avec l’original. Comme cité plus haut, le Wall Market actuel joue clairement moins sur les non-dits et sur l’explicite du fait que le jeu soit plus avancé techniquement et que nous sommes à une époque où tout est sujet à mauvaise interprétation. En ce sens, la réussite du travestissement de Cloud allait beaucoup jouer dans mon appréciation de ce remodelage de séquence. Et Madame M correspond tout à fait à cela : on a littéralement une scène où Cloud a un quasi-orgasme avec un massage. On est vraiment dans cette juxtaposition entre la drôlerie et le sexuel qui faisait la caractéristique du premier Wall Market. - D’ailleurs, ce Wall Market fait un peu office de quête initiatique pour Cloud. Non pas que Cloud soit trop crédule (c’est même le premier à se méfier à Aerith en début du jeu sentant un traquenard venir), mais Cloud, ça reste un adolescent auquel on a ôté 5 ans de sa vie. Et c’est tout l’intérêt de ces personnages qui restent en corrélation avec l’évolution de Cloud : Madame M le « libère » et l’ouvre, Andi lui permet de ne faire qu’un avec son corps en dehors de son domaine de prédilection (le combat, la lutte avec les autres, avec soi-même) et Chocobo Sam, lui, apporte la confiance qui lui manquait envers lui et les autres. Tous ces éléments rentrent en symbiose et permettent à Cloud de mieux s’épanouir notamment auprès d’Aerith. Je vais y revenir. Détail amusant sur le Wall Market mais qui a son importance, la musique qui nous accompagne évolue selon le quartier dans lequel on progresse. On n’est jamais vraiment perdu grâce à la musique et aux changements d’ambiance qui sont soignés et qui font de ce Wall Market un tout cohérent. - L’idée d’inclure un « Battle Square » dans cette première partie via le Wall Market était franchement une bonne idée. En soi, ouais, des combats de truands, des paris, du truquage. Ce ne sont même pas des combats clandestins tant Wall Market est coupé du reste du monde. C’est tout un spectacle qui est mis en scène à tous les niveaux : l’ambiance dans les vestiaires qui met la pression avant le début des combats, la verbe des deux acolytes de Don Cornéo pour alimenter la foule, les retournements de situations au sein des combats, la tricherie validée par Don Cornéo de manière divertissante… Les combats s’enchainent relativement biens … Jusqu’à ce moment. - La maison infernale. La fameuse maison du jeu original que l’on croise parfois dans le chemin menant au Wall Market. Est-ce que j’aurai le sentiment d’exagérer en vous disant qu’il s’agit de mon moment préféré du Wall Market ? J’irai plus loin : c’est le meilleur combat du jeu à mon sens. Ce jeu fait vraiment la part belle à de simples ennemis du jeu de base, et c’est loin d’être le dernier concerné. La mise en scène pour amorcer la venue de la maison est absolument dingue : On a une minute de tambours et de cymbales intimidants. C’est incroyable la pression que cela met la première fois dans le jeu alors qu’on se trouve « juste » devant une maison. Et ce combat, c’est vraiment l’enchevêtrement de toutes choses. C’est un combat qui respire la crainte, la peur, la drôlerie et l’épique. Pour moi, c’était la version horrifique d’un Pampa Senior de FF8. Un combat qui part réellement dans tous les sens, qui ne se pose aucune limite mais qui, pour autant, te place dans un contexte très précis où tu n’as malgré tout pas envie d’en rire. Hell House Le thème musical est à la hauteur de l’intensité du combat. Il se permet de créer une musique distordue et endiablée, pas si éloignée d’une version horrifique des grands thèmes de Final Fantasy 7 (Prelude, Airship, Fighting, Still more fighting ..). Ce n’est pas un combat qui a besoin d’une simple reprise symphonique de Fighting ou Still More Fighting (comme on peut l’entendre contre Aps ou le Gardien Scorpion par exemple). C’est un thème qui fait sens avec son jeu. Rien n’est acquis, ce qui était initialement un mob ne sera pas forcément une partie de plaisir. En plus, le combat dure, dure et dure. Personnellement, j’ai dû y rester 1h mais c’était une heure de pure adrénaline. Quand je réécoute certaines personnes qui disaient à l’époque que le bestiaire de FF7 est incompatible en version HD, eh ben, je ne pensais pas le dire mais ces personnes se trompaient bel et bien. Vu que j’ai fini le jeu, je peux d’ailleurs confirmer ce point. Je n’ai vu aucun monstre qui ne clochait dans ce nouvel univers à cause d’un design mal adapté. Franche réussite pour un point qui aurait pu figurer parmi les plus clivants. Pour revenir, à la maison infernale, ce combat est un moment culte à part entière, ni plus ni moins. Au même titre que le Wall Market. Et la musique de fanfare du jeu originale qui retentit après ce combat. Je me souviens avoir poussé un ouf de soulagement tant c’était une expérience gratifiante et inattendue. - Je me suis renseigné pour mes prochaines parties et il y a une bonne replay value pour le Wall Market. Comme dans l’original d’une certaine manière. Je trouve ça vraiment pas mal pour varier les parties. Selon nos actions, les robes de Cloud, Tifa ou d’Aerith seront différentes indépendamment des autres. Le choix des quêtes secondaires qui nous sera proposé dépendra également de quel sbire de Don on aura réussi à attiser sa curiosité. - Mon deuxième gros moment du Wall Market pour moi, ça a été le passage au cabaret où Cloud a dû exercer ses talents de danseur. En fait, sur le papier, je n’aime pas l’idée de voir Cloud danser. Mais bon, quand on y pense, Cloud ne rechigne jamais à faire les choses même par contrainte (la pièce de théâtre au Gold Saucer par exemple). J’ai trouvé ça finalement super raccord avec les enjeux du chapitre sur le développement de Cloud. Et puis, c’est un régal musical et visuel avant tout. Il y a vraiment quelque chose de super entraînant et divertissant dans la préparation de Cloud en femme. - Le délire de main droite / main gauche dont je parlais précédemment s’est très souvent vérifié sur la suite de l’aventure. Je vous avoue que je n’ai pas noté les moments où cela se contredisait (s’il y en a). En tous cas, je referais volontiers attention aux mains utilisées lorsqu'il est influencé ou qu'il a des flash. Toujours est-il qu’après les péripéties du chapitre précédent où Cloud émettait des réserves à se sociabiliser, il utilise sa main droite pour faire un ultime high five à Aerith. Et un high five qui dure vu qu’ils ne retirent pas leur main. J’ai trouvé le travail de développement Cloud assez intéressant depuis quelques chapitres notamment grâce à la relation qu’il entretient avec Aerith et avec les intervenants du Wall Market. Après, on va pas se le cacher, c’est clairement assez spécial comme traitement et pas aussi apparent que celui de Tifa ou de Barret qui font plus sens avec une narration plus classique et moins dans un délire japonais (si je puis dire). Mais en tous cas, j’ai beaucoup apprécié le changement de Cloud au contact d’Aerith. Lui qui précédemment ne voulait pas faire de high five avec Tifa, il en fait un avec Aerith qui dure. Lui qui disait à Barret qu’il ne voulait pas danser et faire de pose de victoire, il est aux premiers rangs pour danser dans un cabaret. - Malheureusement, le Wall Market n’est pas sans défaut. J’ai terriblement du mal à l’imaginer sans Big Bro ou Mukki mais ils ne sont jamais évoqués. Pour Mukki, je peux comprendre mais Big Bro, c’est la grande interrogation. En vrai, c'est juste du détail mais quand je vois tous les détails dans le décor, le bestiaire, les PNJ, presque rien n'a été oublié à part eux. Par contre, Johnny, c’est un enfer sur pattes. J'aurai préféré qu'ils l'oublient. Chacune de ses apparitions me donnait envie de pleurer. Je peux comprendre ceux qui aiment Johnny, je pense qu’il peut être très drôle surtout avec le doublage japonais, car on voit tout de suite comment a été pensé le personnage. Je pense que la VF m’a mis un gros coup dans la tronche avec ce personnage inadapté à un doublage français. Le seul moment où j’ai esquissé un sourire, c’est quand il s’est trouvé une nouvelle vocation avec le vieillard du magasin de vêtements et où il était super déterminé à habiller les nouvelles danseuses de cabaret. Le paradoxe entre le surplus d’ambition et le fait que ça soit super pervers dit comme ça, ça m’a bien fait rire et je pense que c’était voulu en ce sens. Par contre, le reste des apparitions de Johnny, j’ai sérieusement subi. Et la quête la plus longue, c’est avec lui … C’est de loin le pire personnage du jeu pour ma part. A voir si ça passe mieux avec les autres doublages. C’est un personnage très japonais dans sa construction donc je pense que j’ai ma réponse mais j’ai quand même des craintes. A voir ! - Le passage avec Don Cornéo était vraiment bien foutu aussi. En fait, je n’ai pas grand-chose à redire dessus. L’ambiance était bien respectée, le personnage est à l’idée que je me faisais de lui à l’époque. Comme le reste du Wall Market, ça fait son petit quelque chose de rentrer dans l’antre du Don : cette musique, cette atmosphère oppressante qui baigne dans la luxure … Juste que je n’ai pas compris pourquoi Cloud et Aerith ont été drogués pour finalement être déplacer dans une autre cave. Surtout qu’il ne leur ait rien arrivé depuis et que les deux « femmes » étaient censées venir chez le Don de manière consentante. Pas bien pigé. Un bon passage dans la même veine que dans le jeu original, rien de plus. J’ai beaucoup aimé le passage où Tifa et Aerith sont dans la même longueur d’onde et partagent le même optimisme (encore un high five, décidément, tout passe par les mains dans ce jeu ).- Le combat contre Aps était vraiment super plaisant ! Déjà, ça faisait super longtemps qu’on avait pas trois personnages dans l’équipe. Et je dois avouer que retrouver Tifa, c’était vraiment top. Même si j’aime le maniement des quatre personnages (un poil moins Aerith cependant), c’est clairement avec Tifa que je me sens le plus à l’aise. Sa vitesse de course, ses enchaînements, son agressivité pour augmenter la barre de choc. C’est très clairement la MVP du jeu même si chaque personnage a ses propres spécialités selon les stratégies de jeu. Super bon point qu’ils ont conservé de l’original : le boss rugit avant d’apparaître et de passer à l’action. Comme tous les boss du jeu, j’ai apprécié l’affrontement. Peut-être trop court cependant. Bien content qu’ils aient conservé ses attaques où il invoque un raz-de-marée même si je suis un peu déçu de pas le voir se prendre sa propre vague en pleine face. Autre point que je n'avais pas évoqué mais j'aime beaucoup l' "altération d'état" immobilisation lorsqu'un de nos personnages est "attrapé" très souvent par un ennemi colossal. La mise en scène de l'immobilisation dépend très souvent du type d'ennemi et ça apporte vraiment une pression supplémentaire au combat pour aider ses combats qui se font asséner de coups. - Les petits détails à la con : o On aperçoit les gravures qui associent les materia entre elles sur les armes des personnages. o On aperçoit Palmer au Honey Bee Inn. Si je n’abuse, dans le jeu original, ça aurait dû être initialement sa première apparition. o Les combats au colisée se concluent tous par la fanfare de FF7 et les persos prennent leur pose de victoire respective. o Le symbole du point de sauvegarde figure sur les bancs où il est possible de se reposer. o Quand Tifa ne porte pas de boucles d’oreilles (robe exotique), on voit ses oreilles percées. o Si Aps reçoit un puissant sort de feu (une attaque d’Ifrit par exemple), il se peut que le boss s’enflamme et plonge dans l’eau pour éteindre les flammes. - Nouvelles rubriques, les musiques « coup de cœur » que j’ai adoré et que j’ai découvert (ou redécouvert si je n’y avais pas prêté attention avant) durant cette session de jeu : o Hell House o Due Recompense o Colosseum Death Match o Stand Up – Reprise o Smash ‘Em, Rip’Em o Abzu Conclusion du chapitre : une franche réussiste. C’est très différent du Wall Market original malgré quelques similitudes. Mais c’est suffisamment bien rythmé et jouissif pour qu’on prenne son pied de bout en bout. Les prochains chapitres seront certainement condensés car Wall Market est en quelque sorte un gros pilier du jeu (et non du secteur 7 ). C’est en tous cas un des chapitres avant ceux de la fin où il y a énormément de choses qui en ressortent.
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| yuyu
Expert en bluff
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| Eléo
J'peux pas, j'ai...
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J'ai tout aimé dedans et j'ai adoré aussi adoré Madame M et la scène de danse (même si je trouve qu'un meilleur travail aurait pu être fait sur Cloud pour que ça s'intègre mieux. Et la Maison de l'Enfer est aussi mon combat favori, même si, au bout d'un moment, j'en avais raz le bol de me la farcir pour valider le chapitre à 100%. FFVII: Heritage - Les IRLs en video |
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azertyuiop2
 Addict au sucre 
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Pour Mukki je n'ai en effet pas de souvenir, mais Big Bro j'avais en tête qu'il apparaissait comme le dernier adversaire du gymnase. Les autres sportifs ne l'encouragent-ils pas en l'appelant "grand frère" ?
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| Acro
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| Joberoly
Psychopathe
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"Ce que nous appelons progrès, c'est souvent la résolution des problèmes posés par ce qu'on a appelé progrès à l'épisode d'avant". Marc-André Selosse. |
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