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JasMouse
 Domino 
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J'espère que vous êtes prêts pour lire un GROS pavé ?  Rassurez-vous, je vais diviser en plusieurs paragraphes, donc, ne lisez pas tout d'un coup !  Allons-y. Inutile de préciser que, comme la plupart d'entre vous, je suis un fan inconditionnel de cette fantastique saga qu'est Final Fantasy. En introduction à ce petit dossier, excusez-moi mais je vais raconter vite/fait comment j'ai découvert tout ça. Une année, 1998. Vous voyez sûrement de quel jeu je veux parler ?  Enfin bref, mon père, dans je ne sais quel élan de pensée, achètes son premier jeu de rôle (me demandez pas pourquoi, il a jamais aimé ça...). Moi, mine de rien je l'essaye... Je vous racontes pas l'échec critique ! Je n'ai même pas pu passer le bâtiment Shinra... (oh ça va hein, j'avais 6 ans à peine !). Enfin bref, jeu "nul" (oh le blasphème !!) pour mon père comme pour moi, aux oubliettes ! Passent 10 ans. Kingdom Hearts II. Jeu d'action formidable (voir ici) et une question : si je réessayais ce vieux FFVII ? Et là, c'est le drame...  On pourrait dire le coup de foudre en 2007 ! Je me finis totalement le jeu et finis ici sur ce chers forum Où vais-je en venir ? Et bien m'étant aguiché de 7,8 et 9èmes épisodes, je me suis dis, pourquoi ne pas faire les autres ? Ce que j'ai fais, du moins partiellement. Le but de ce topic, pour ceux qui suivent encore, est de rendre compte de tous les épisodes de la saga et d'expliquer ce qui a marqué, ce qui a déplu, ce qui restera à jamais dans les coeurs etc. J'avoue tout de suite que je n'ai pas finis totalement tous les jeux de la saga mais je penses en savoir assez pour donner mon avis global sur ces merveilleux jeux. Si vous avez des commentaires, des réflexions ou si vous voulez réagir à mon dossier, n'hésitez pas, c'est un jugement personnel, tout le monde à droit de dire ce qu'il pense. Vous êtes prêts ? Alors, c'est parti, bienvenue dans un voyage au coeur d'une saga infinie ! Final Fantasy Date de sortie originale : 1987, Famicon Taux d'avancée du scénario : 40% Un peu d'histoire : commençons par le commencement, n'est ce pas ? La genèse de notre saga phare. J'ai supporté les graphismes originaux pendant quelques heures, malgré la qualité disons, incertaine Disons-le, Final Fantasy premier du nom a vieilli. Malgré les remakes très variés, cela reste du old-school. Ancienneté mise à part, on a à faire à une jeu très nostalgique. L'histoire que bon nombre d'entre vous connaissent : 4 guerriers ont été choisis par les cristaux des éléments pour restaurer l'équilibre du monde. Liberté de choix des persos : les inénarrables Mage Noirs et Blancs, Chevaliers, Moine, Voleur etc et vous voilà dans le château de Cornélia ! Le scénario ne casse pas des briques mais à le mérite d'innover pour l'époque. Mon avis : passons les graphismes, vous avez compris. Le système de combat m'en a fait bavé au début mais une fois les bases acquises, on se prend vite à l'aventure et à l'inévitable level-up (quelle fût ma joie quand j'ai owned Garland au tout début ! bon j'ai vite déchanté après...). Difficile c'est sûr, mais pas impossible. L'habitude des nouveaux FF m'a hélas découragée d'en l'optique de finir le jeu totalement. Pour les puristes, Liche m'a arrêté dans mon entreprise... En tout cas, les trouvailles de la firme nippone sont stupéfiantes : les personnages, les véhicules, les combats, etc. Conclusion : Final Fantasy ne fait plus d'effet après tout ce temps mais mérite d'être testé par toute personne se disant fan de la saga, histoire de voir d'où tout ça vient. Note : 13/20 Final Fantasy II Date de sortie originale : 1988, Famicon Taux d'avancée dans le jeu : 20%  Un peu d'histoire : après le succès dans l'archipel de Final Fantasy l'année précédente, Square ne pouvait s'empêcher de remettre le couvert avec FFII. Et là, virage à 180 degrés on pourrait dire. Bonjour à toi Firion, premier héros digne de ce nom dans la série. Notre nouvel ami veut se venger des forces de l'Empire qui ont massacrées son village. Le début est d'ailleurs tragique quand ses amis et lui sont attaqués par les impériaux. Décidé à se venger, Firion accompagné de ses amis Maria et Guy, entre dans la résistance. Vaincront-ils l'Empereur Paramécia ? libèreront-ils leur amis Léon ? Affaire à suivre... Clin d'oeil amusant, c'est ici qu'apparaissent les chocobos ! Mon avis : avec FFIII, c'est le jeu de la série auquel j'ai le moins joué. Niveau gameplay, surprise, plus de points d'exp ! Le virage de Square prend tout son sens ici. On augmente ses pouvoirs en les utilisant ! Si vous utilisez des sorts avec untel personnages, celui-ci deviendra plus fort en magie, etc. Manque d'adaptation cruel pour ma part, j'ai vite laissé tombé. Malgré ce système, le jeu m'a laissé une bonne empreinte et je comprend que beaucoup de gens l'ai aimé. Note : 11/20 Final Fantasy III Date de sortie originale : 1990 Taux d'avancée dans le jeu : 10%  Un peu d'histoire : passons au très peu connu FFIII. Alors que le deuxième opus s'est plutôt bien exporté, pour celui-ci, américains et européens n'ont eu droit qu'à de l'émulation jusqu'au remake DS de 2006/2007. Fidèle aux origines je l'ai attaqué sur émulation Famicon. Depuis FFI les graphismes ont certes été légèrement embellis mais rien n'ai fait, c'est de la Famicon quoi ! Nous voici aux commandes de 4 ophelins qui vont être choisis par les cristaux pour sauver le monde (encore !). Et oui, on recycle l'histoire des gentils cristaux. Cette fois le mal sera incarné par un esprit annoncé par une terrible prophétie. De biens belles galères en perspectives... Mon avis : atroce, difficile, long. Et pourtant, c'est un FF... Le gameplay s'est avéré classique, un peu trop. Moins de prise de risque qu'avec FFII, dommage. Vraiment moyen. Le pire vient sans nul doute de sa difficulté. Coincé en mini dans un passage ou des monstres dont leurs niveaux est le triple du votre, ça fait mal. Je vénère ceux qui s'y sont frottés. Note : 10/20 Final Fantasy IV Date de sortie originale : 1991, Super Famicon Taux d'avancée du jeu : 70% Un peu d'histoire : voici venu le temps de l'ère Super Famicon. Qui dit nouvelle console, dit graphismes améliorés. Et c'est le cas, couleurs plus jolies, moins de bip déprimants etc. FFIV relance la série avec l'arrivée d'un nouvel héros, tel Firion de FFII : le chevalier noir, Cécil ! (pas de spoil sur son devenir !) Ce jeune homme tourmenté va devoir réfléchir sur l'impact de ses actions en temps que chevaliers noir au service du royaume conquérant de Baron. Amené au repentir, Cécil sera aidé par une foule jamais vue de personnages : Rose la mage blanche, Rydia l'invoqueuse, Kain le chevalier Dragon, Cid le mécano etc. Square en met plein la vue, même au niveau des méchants... Golbez... Mon avis : ça y est, on entre dans une période, disons d'argent (le métal ! pas le fric !) pour la série. FFIV est l'un de ceux que je mettrais automatiquement dans top 5. Là aussi et je regrette amèrement, le temps m'a manqué pour le finir totalement... peut être un jour je l'achèverais... Enfin bref, apparition de l'ATB ! Cette sympathique barre de chargement que nous avons encore dans le numéro XIII de la série ! Combats superbes où se déchaînent invocations, sorts, attaques et bien d'autres ! Chaque perso possédant ses propres pouvoirs, on a aucun mal à varier les techniques. En somme, une référence dans la saga. Note : 15/20 Final Fantasy V Date de sortie originale : 1992, Super Famicon Taux d'avancement dans le jeu : 80% Un peu d'histoire : avec sa cinquième fantaisie, Square se veut nostalgique. Retour à la légende des cristaux, légèrement assouplie. On a bel et bien un héros : Bartz ! Ce-dernier, un rien sauvageon, sauve dans une forêt reculée la princesse de Tycoon, Lenna lors de la chute d'un météore sur la planète. Les deux héros y trouvent également un certains Galuf, personnage vieux et amnésique. Bientôt rejoins par un pirate au nom de Faris chargé de secrets, ils vont être choisis par le cristal du vent pour sauver le monde du néant invoqué par Lord ExDeath. Mon avis : quand je pense à FFV, j'ai envie d'assommer quelque chose... pas parce que le jeu m'a déçu, simplement que ma sauvegarde a été altérée par une mise à jour et que je n'ai jamais eu le courage de recommencer... ben la totalité du jeu presque ! Enfin, avec son système de classes interchangeables, d'acquisition de compétences par l'apprentissage et ses personnages, peu nombreux d'une part mais très attachants... Alalala... que de bons souvenirs... Bémol : un rien corsé à certains endroits, surtout quand on s'y attend le moins... prenez un max de potions et d'éthers, c'est un conseil... Note : 16/20 Final Fantasy VI Date de sortie originale : 1994, Super Famicon Taux d'avancée dans le jeu : 90% Un peu d'histoire : le dernier FF de "l'Age d'Argent" de Square. Un moment inoubliable... La jeune Terra, magicienne aux pouvoirs effrayants, est contrôlée par les forces impitoyables de l'empire Gesthal. Elle est libérée accidentellement lors d'une mission de capture d'un Esper, un esprit magique. Troublée, ne sachant pas qui elle est réellement, Terra va partir autour du monde pour finalement entrer dans la résistance contre l'empire. L'aventure se fera avec, attention, pas moins de 14 personnages principaux réunis autour de Terra ! Edgar, Sabin, Locke, Celes et les autres résonnent comme des vieux amis dans les esprits des gamers... Mon avis : FFVI ? Une bénédiction ! Que dire ? Un scénario inventif, un background inépuisable, des personnages inoubliables, un méchant d'anthologie, Kefka ! Et tous les à côtés : quêtes annexes à la pelle, voyage à chocobo en 3D, pour la première fois ! Niveau combat, même constat que FFIV, avec la foule de personnage, on adopte toutes les techniques possibles : vol, magie, bourrinage, chance, finesse etc. Et l'opéra Aria di Mezzio Carreterre... magique ! Note : 18/20 Final Fantasy VII Date de sortie originale : 1997 Taux d'avancée dans le jeux : 200% Un peu d'histoire : est-ce bien nécessaire ? Allez, pour la forme. A partir du grand FFVII la firme nippone fait faux bon à Nintendo et s'engage chez Sony : bonjour sympathique Playstation ! Et là, changement total de graphismes si l'on peut dire. La 3D entre enfin dans la galaxie FF. De plus, la saga débarque pour la première fois dans l'Europe ! Bon on repassera pour la traduction n'est-ce pas ? Un petit rappel du scénario ? Cloud jeune mercenaire s'engage dans un groupe de résistance nommé Avalanche qui lutte (non pas contre un empire maléfique pour changer  ) contre une multinationale qui pille les ressources de la planète : la Shinra. A partir de là Cloud va se retrouver mêlé à une quête mystérieuse qui le mènera ainsi que ses compagnons jusqu'au coeur même de la planète. Sauveront-ils le monde ? (et oui, faut toujours sauver le monde quand même )Mon avis : Dois-je là aussi hyperboler ? Un scénario captivant, des graphismes qui font toujours effet, des personnages ambigües et captivants, une bande son...  et encore je pourrais faire des pages pour qualifier ce chef d'oeuvre qu'est Final Fantasy VII. L'aspect nostalgique apporte beaucoup également pour ma part franchement. Vous me comprenez sans doute chers amis. J'en profite d'ailleurs pour saluer une nouvelle fois le travail effectué sur ce site, Acro, t'es notre idole ! Note : 21/20, et encore le point bonus de nostalgie  Final Fantasy VIII Date de sortie originale : 1999 Taux d'avancée dans le jeu : 100% Un peu d'histoire : avec le merveilleux FFVII la série entrait dans son "Age d'or". Pourquoi dis-je cela ? Car le volet suivant s'avère à la hauteur du précédent. Graphismes réhaussés exploitant le maximum de la ps1, FFVIII en met plein la vue. Squall Léonheart est élève du Balamb Garden, une université chargée de former de jeunes mercenaires, les Seed pour sauvegarder la paix et lutter contre les diaboliques sorcières. Après son examen final, Squall part pour sa première mission aux côtés de ses deux "amis" Zell et Selphie. Mission a priori tranquille qui va tourner très vite dans le cliché... sauver le monde ! M'enfin, nous ne sommes pas surpris à force Dans cet épisode vont se mêler technologies, magies, voyages temporels, visions, amitié et surtout amour ! Préparez-vous à entrer dans un monde exceptionnel !Mon avis : Square a frappé très fort dans ce FFVIII, j'avoue l'apprécier autant que le numéro VII, il est ex-aequo sur le podium en tout cas. Squall is the best ! Le déchaînement de limites, de GF et de coups critiques est prodigieux et... quelle puissance quand le système est maîtrisé ! Reste le scénario que je trouve également à tomber, malgré quelques passages un peu fait à la va vite (rendez-vous au terrain de basket pour que tous les souvenirs reviennent !) je le trouve vraiment abouti. Et The Extreme pour le boss final quoi ! Un gros coup de coeur en somme. Note : 20/20, moins le fameux point de nostalgie de FVII Final Fantasy IX Date de sortie originale : 2000, coubo ! Taux d'avancée dans le jeu : 100% Un peu d'histoire : FFIX, ou le baroud d'honneur du staff' original... Et oui, cet épisode, le dernier sur ps1, le dernier de "l'Age d'or" de la série. Un retour aux sources providentiel pour les fans. En effet, exit le monde où la technologie surclasse le merveilleux. Nous rencontrerons une foule de bestioles dont ces bons vieux mogs qui font un come-back... remarqué... Enfin bref, les graphismes gèrent la fougère encore une fois pour notre bonne vieille console ps1, avec des décors à tomber. Scénario ? Acompagnez le voleur Djidane (il a queue, si, si !) dans sa quête pour conquérir le coeur de la princesse Grenat ! Ne vous inquiétez pas, il faudra sauver le monde quand même ! Léger de prime abord l'opus traite finalement de choses sombres comme la mort, la peur etc. De charmantes heures en perspectives avec Djidane, Bibi , Grenat etc.Mon avis : féérique est le mot qui me vient à l'esprit en pensant à FFIX. Nous sommes plongés dans un monde au-delà de l'imagination avec des bestioles étonnantes à tout les coins de rue. Le scénario en lui-même est tantôt simpliste, tantôt profond, on le suit pourtant avec plaisir si on s'attache aux personnages. A part le gars aux griffes dont j'ai mangé le nom tellement il m'a marqué, ils sont tous intéressants. Oui, même Queena qui apporte une dose... spéciale dans le melting-pot FFIX. On ajoute à tout ça un système de combat un tantinet classique et hop ! un bon et beau jeu de rôle comme on les faisait dans le temps ! Note : 18/20, moins marquant que ses deux prédécesseurs, mais inoubliable ! Final Fantasy X Date de sortie original : 2001 Taux d'avancée dans le jeu : 100% Un peu d'histoire : voilà que la franchise passe sur une nouvelle console ! Bienvenue sur ps2. Est-ce que les jeux seront à la hauteur de ceux de la génération ps1 ? Pour les graphismes, c'est la grosse claque visuelle : les cinématiques sont à tomber. Et en plus, les personnages PARLENT, incroyable ! En anglais certes mais bon, on ne peut pas tout avoir... Pour l'histoire du jeu, vous allez accompagner le jeune Tidus, star du blitzball (c'est genre du football mais dans l'eau) qui se retrouve propulsé 1000 ans dans le futur où il devra accomplir un grand pèlerinage avec l'Invokeur Yuna et ses Protecteurs pour se débarrasser de Sin, une grosse baleine baveuse qui veut détruire le monde. Mon avis : FFX m'a laissé un agréable souvenir d'un monde, Spira, vraiment magique. On prend plaisir à parcourir les étendues (souvent en lignes droites hélas...) vertes et plaisantes. La populace rencontrée est aussi sympathique, des humains aux ronsos compris. Le système de combat qui passe pour un temps en CTB, et très dynamique avec des changements de persos à chaque instant, une nouveauté dans la saga. Le sphérier, pour les compétences laisse une autonomie agréable au joueur. Pour finir le scénario est plutôt bon, un peu linéaire, mais il donne envie de savoir ce que fout en définitif Tidus, à 1000 ans de chez lui. Un jeu sympathique en somme mais moins, comment dire ? moins entrainant que les anciens. Note : 15/20 Final Fantasy X-2 Date de sortie originale : 2003 Taux d'avancée dans le jeux : 60% Un peu d'histoire : apparemment déçu de la fin si triste de FFX (ou par pure intention commerciale, au choix ) Square nous balance une suite directe du volet précédent. On prend les mêmes et on recommence, enfin pas tout à fait. Si on retrouve, en complétement différente, lady Yuna et l'Al-Behd Riku en personnages principaux, s'ajoute Paine, sortie d'on ne sait où. L'histoire débute pratiquement là où c'est arrêté FFX. Sans spolier le joueur qui n'a jamais joué, disons pour faire simple que YuRiPa sont devenues chasseuse de sphère (boules lumineuses qui dotent leurs porteurs de pouvoirs). Découpée en plusieurs actes, l'histoire se tourne vers de mystérieux rêves que fait Yuna. Difficile d'en dire plus sans rien gâcher alors, faîtes le jeu pour voir.Mon avis : certains n'auraient jamais placé FFX-2 dans cette liste car ils ne le considèrent pas comme un véritable épisode. Pourtant, je l'ai placé dans ce dossier quand même. Certes on est direct dans du fan-service, Yuna ne ressemble plus à rien, le scénario ne casse pas trois pattes à un canard MAIS le jeu en lui-même se démarque par sa multitude de quêtes annexes ainsi que son système de combat. Square recycle les bonnes vieilles classes de personnages. Le mieux étant que l'on peut switcher entre ces différentes classes en changeant les vêtements des 3 miss. Besoin d'une mage blanche ? hop ! transformation ! Bon, avec des cut-scènes jolies la première fois mais vite gonflantes à force. D'où le fait que j'ai abandonné le jeu à un peu plus de la moitié même si j'aurais bien aimé m'occuper de Vegnagun. Note : 13/20 Final Fantasy XII Date de sortie originale : 2006 Taux d'avancée dans le jeu : 30%, vous allez comprendre pourquoi bientôt.... Un peu d'histoire : après avoir planché pendant plus de 3 ans sur le jeu, Square le fait débarquer en 2006 parmi des fans qui commençaient à perdre patience. Derniers né sur ps2, visuellement, FFXII vous met une claque retentissante. Encore une fois, la ps2 est poussé dans ses retranchements les plus extrêmes. Niveau graphisme donc rien à dire.Désolé mais je vais commencer, je ne peux m'empêcher, déjà pour l'histoire, à être grinçant. Allons-y quand même. Nous contrôlons le jeune Vaan (rien que le héros m'a fait pleurer...) qui rêve de devenir un grand pirate pilotant un fier vaisseau. Malheureusement, il passe sa vie au côté de sa meilleur amis, Pénélo au coeur de Rabanastre, capitale d'un petit royaume compris dans un grand Empire tout vilain. Après beaucoup de hasards (prévisibles) vous allez vous retrouver embarqué dans la rébellion contre l'empire menée tambours battants par la princesse Leyla... euh Ashe, aux côtés d'un pilote prétentieux, Han Sol... Baltier pardon, qui est accompagné lui-même par une créature de fourrure, Chewbac... Fran la lapine. J'insiste mais vous saisissez l'idée. Seul personnage intéressant Gabranth le méchant finalement, et l'aspect politique du titre très développée. Mon avis : je crois que vous avez compris. Beaucoup d'avantages graphiques pour finalement un jeu où le background est tout simplement énorme (que ce soit au niveau bestiaire et lieux) mais où il sert une scénario inexistant. Désolé je sais que beaucoup l'aime mais moi, qui adorent principalement les FF pour leurs histoires, devoir faire 3 heures de marche pour aller d'un point à un autre, laissez tomber. S'ajoute à ça des personnages fades à part Balthier à la rigueur et c'est le drame... Désolé encore à ceux qui adorent ce jeu mais moi, la sauce ne prend pas... Note : 10/20, sauvé par les graphismes et le background Final Fantasy XIII Date de sortie originale : 2010, PS3/Xbox 360 Taux d'avancée du scénario : 100 % Un peu d'histoire : annoncé tout d'abord sur PS2, le dernier né de la saga principale arrivera finalement sur consoles Next Gen, faisant la nique à Sony en s'installant tranquillement chez Microsoft ! Je vais parler ici de la version PS3. Avec cet opus la saga tombe dans le véritable film interractif. En effet, l'histoire nous prend dans son schéma et ne nous lâche pas jusqu'au chapitre 11 sur 13 au total. Mais quelle histoire ! Nous suivons ici les tourments de 6 héros face à leur destins de L'Cies, des humains chargés d'obéir à des divinités habitant leur monde sous peine d'être changés en zombies. Les personnages dont l'excellente Lightning vont ainsi affronter leur destin dans une lutte qui s'annonce âpre ! Là, avec votre câble HDMI, votre console qui tourne à plein régime et votre galette de FF XIII, vous en prenez plein les yeux. Les graphismes font honneurs à la console et sont magnifiques. Mon avis : certes le titre aura bien divisé. Sa linéarité insolente, pire que celle de FF X aura refroidis les nombreux adeptes du douze. Moi, cela ne m'a pas gêné outre mesure, l'histoire est plaisante à suivre et la trame est faite pour cela. Côté système de combat, c'est le dynamisme qui prime malgré le retour de notre vieille amie, l'ATB. Les rôles remplacent facilement les jobs d'antan et les joutes deviennent vite stratégique avec la notion de break. Les crystariums apportent leurs lot de personnalisations sympathiques. Côté personnages, mi-figue mi raisin : Lightning bien sûr, ainsi que Fang et Hope assurent bien mais Vanille et Snow... Sahz est finalement assez drôle mais sans plus. Bref, le XIII est un bon jeu, différent de la saga mais que je classe sans hésiter dans le haut de la liste ! Note : 16/20 Sachez, vous l'aurez compris, d'une part je n'ai pas pris en compte FFXI et XIV car, niveau MMORPG, je ne peux juger, n'ayant pas d'expérience dans le domaine. D'autre part, ce dossier est, encore une fois, très subjectif, c'est mon avis, vous pouvez en avoir un différent, alors, si vous le voulez, discutons-en (surtout pour FFXII ). Sur ce, je vous souhaite bonsoir, en espérant que le dossier, assez long c'est vrais, vous ai plu, que les anciens joueurs ont repensés à leurs heures de jeu sur certaines fantaisies, et que d'autres auront envie de jouer à cette sage, une fois encore mythique et inoubliable... JasMouse, en direct de plus de 20 ans de rêves, de magie, de sentiments bien d'autres... Longue vie à la Saga et longue vie à l'imagination ! [Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 19 août 2011 à 20:29] 1+1=3 L'Amour comme Epée, l'Humour comme Bouclier ! Un est tout. Tout est un. Adagio, invocateur ! |
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Threemansking
 Atlanta Boy 
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Qui sait, je ferai peut être un petit truc pareil après (quoi que la ligne avancement, ça sera à chaque fois 100 %, quoi que non en fait, pour certains ça sera encore plus ! ^^) En tous cas, je salue une nouvelle fois l'idée, et je lirai tes résumés avec plaisir dans un futur proche Par contre, tu n'as fini aucun des 6 premiers opus ?  [Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 18 novembre 2010 à 22:20] Attention, cette signatrue n'est pas une signatrue sur le cyclimse, merci de votre compréhension. |
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| JasMouse
Domino
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Et non pour les 6 premiers même le V et le VI... et pourtant Dieu sait qu'ils sont géniaux... mais voilà, le temps, les soucis d'émul etc =S C'est pour ça, s'il y a à rajouter, n'hésitez pas ! 1+1=3 L'Amour comme Epée, l'Humour comme Bouclier ! Un est tout. Tout est un. Adagio, invocateur ! |
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stevenn33
 Bibliothécaire 
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Et je suis à peut-près d'accord avec toi. Et aussi avec Treemansking pour le fait que tu ne les a pas fini.  Et entièrement d'accord, il y a un grand gouffre pour moi entre FF3 et les autres FF donc j'ai donner la note de 4/20 sur JVC tellement je le trouve pitoyable. Si je l'ai finis c'est bien car c'était un FF sinon il y aurait belle lurette que j'aurais arrêté... |
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return
 Manuel du jeu 
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Lorsqu'on a compris comment les utiliser à bon escient, c'est que du plaisir de voir son équipe traverser un donjon sans problème majeur Bueno Dias! Ye m'appelle Inigo Montoya. Tou a toué mon père. Prépare toua à mourir! |
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| JasMouse
Domino
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 1+1=3 L'Amour comme Epée, l'Humour comme Bouclier ! Un est tout. Tout est un. Adagio, invocateur ! |
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Siegfried
 GUINNESSMAN 
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Dans le remake sur GBA (que j'ai perdu bordel de diou) tu pouvais faire de vrais machines de guerre avec quelques jobs... Genre un Archer qui attaque 4 fois + un Ninja qui tient un arme dans chaque mains = 8 attaques en une seule fois. Ca déboite. interessant pavé. |
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Œil de Nuit
 Rude 
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| stevenn33
Bibliothécaire
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Renzokuken
 Globe-trotter 
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| JasMouse
Domino
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1+1=3 L'Amour comme Epée, l'Humour comme Bouclier ! Un est tout. Tout est un. Adagio, invocateur ! |
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| Siegfried
GUINNESSMAN
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Juste une petite remarque, le système du X-2 est génial, mais comme tu dit les changements de tenues sont lourds, mais y à pas un truc dans le menu des options qui zappe les transformations? |
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| Jeffou
Délit de face gueule 
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: FFXII : Alors j'adore ce jeux mais je peux comprendre que l'on n'aime pas cet épisode et puis pour le parallèle entre ce 12 eme épisode et Star Wars, je n'avais pas vu que c'était si "identique" et pourtant je connais et aime bien ( voir même très bien ) la saga de Lucas, donc pour moi il est possible de faire abstraction , et sur le fait que tu n'aime pas passez 3 heures pour allez d'un point a un autre ( comme beaucoup de personnes ) et bien j'ai envie de te dire que cela permet de voir l'immensité ( enfin tout est relatif ^^ ) des paysages du jeu FFX-2 : Alors pour cet épisode je pense être le plus fervent défenseur ( quitte a me faire "insulter" : noel : ) alors pour commencer c'est RIKKU  , alors tout le monde le prend comme du fan-service car on contrôle des filles sexy mais faut arrêter, alors Tomb Raider c'est du Fan service ??? ( j'y vais peut être un peu fort ... ), moi j'aime l'histoire même si la bonne fin est trop happy end sur ce point je suis d'accord . JE voudrais savoir ce que tu veux dire par ne "ressemble plus a rien" ???. Sinon tu parles des quêtes annexe dans X-2 mais pas dans le XII et pourtant elle occupe une place importante ( annexe et importante ne peuvent pas être mis dans la même place mais je m'en fou : noel : ). Et pour finir les cut-scène des transformations peuvent être sautées dans les options ( d'ailleurs c'est un problème récurrent pour moi dans les FF's que les invocations ou ici les transformations ne peuvent être coupées quand elles sont trop longues/récurrentes ).FFX : Bon alors je m'attaque a mon 2nd FF's préféré loin devant les autres . Alors il est vrai que les graphismes sont AWESOME ^^ c'est d'ailleurs par une vidéo démo qui m'a fait comprendre que j'allais adorer ce chef d'oeuvre . Pour les voix, je pense que c'est mieux que soit en VO car comme on le sait les VF's sont souvent désastreuses ( sauf dans les dessins animés mais c'est une autre histoire ^^ ) . Pour l'histoire je vois pas quoi d'autre a dire, tu la résume très bien sans en dire trop . C'est bizarre que tu ne parle pas de la linéarité dont beaucoup de gens déplore ( mais pas moi ^^ ) mais cool ^^, je suis aussi d'accord sur les Pnj's je les trouve tous très sympathiques ( sauf Bickson :@ ). Rien a ajouter sur le spherier et le Gameplay . Ahh enfin de compte tu en parle de la linéarité, après je voudrais savoir ce que tu veux dire par la ^^ Sinon moi je l'ai trouvé beaucoup mais alors beaucoup plus entrainant que le 9eme épisode ^^ mais ce n'est qu'un avis 1ere partie postée je continue tout de suite .FFIX : Alors la j'ai rien a dire  a part que l'homme a griffe s'appelle Tarask ( en VF ^^ ) enfin je vais quand même dire quelque chose ^^, Alors je n'aime pas l'univers, je n'arrive pas a m'attacher a lui :s, pour l'histoire entre Djidane et Dagga ( oui je l'appelle comme ça : noel : ) j'en ai eu marre des Dali ... , enfin je vais pas m'étaler la dessus je vais m'énerver tout seul  [Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 21 novembre 2010 à 22:44] |
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| stevenn33
Bibliothécaire
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Bon et bien je suis à peut-près d'accord avec toi, sauf pour le XII. Un scènario inexistant? Pourtant je le trouve remarquable. Certes il change des autres Final Fantasy, et il n y a pas d'histoire d'amour(point fort pour moi ), mais tout de même, je trouve que cette trame politique est très bien ficelé. On assiste vraiment à différent point de vue de la justice(notamment au niveau des juges). Pour ma part je le considère comme le meilleur scénario de la saga.Et en effet, l'univers est très proche de Star Wars. Après, je suppose que c'était voulu, ils l'ont fait exprès. Mais l'histoire reste tout de même différente entre les 2 oeuvre. |
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| Œil de Nuit
Rude
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(Que je suis subtil…) [Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 22 novembre 2010 à 00:09] |
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Zell
 Défieur 
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J'suis assez d'accord partout en fait. Mais FF2, je l'aurai placé un peu mieux que le 1 par exemple. 13-14, ça aurait été ma note, j'trouve ça bien payé pour un embryon du genre. Un système d'évolution atypique (car en soi, le système des combats ..), le système de mot de passe qui n'est pas bête mais peut être pas assez développé, beaucoup de scènes .. pas énormes, mais excellentes pour l'époque, ça changeait beaucoup de la platitutde de FF1. Et puis, je trouve l'OST super belle. Pas du niveau de l'âge d'or d'Uematsu, mais là où FF1 nous proposait de belles mélodies, ici, on a droit carrément à un style à part (avec même de la musique classique). On a droit à un véritable embryon de ce que va être FF4 sauf que même si FF4 lui sera inévitablement supérieur techniquement, FF2 garde une touche bien à lui, on ne l'oubliera pas quand même pour de nombreuses choses. Pour FF5, ben, j'trouve qu'il ne mérite pas plus que FF4. Alors, certes, lui aussi, est supérieur en tous points à son prédecesseur techniquement. Le sysème de combat est plus personnel, plus poussé, la bande ost est de meilleure qualité techniquement, le scénario fait toujours amateur mais reste peut être un peu mieux ficelé, les graphismes sont plus chatoyants et agréables. C'est juste techniquement que je trouverai FF5 supérieur en réalité ; Je trouve les compositions jamais au delà du très bon, surtout du sympatoche, mais c'est tout. C'est pareil pour tout dans le jeu, même les personnages ... Faris ou Galuf sont loin d'un Kain, Cecil pour ma part. Seul le système de combat est concrétement supérieur à FF4 (voir même à quasiment tous les FFs). FF8 : Encore une fois, je conçois qu'on puisse adorer cet opus si caractéristique mais je trouve toujours ça bizarre qu'on le considère comme abouti. Même au niveau du gameplay, la personnalisation est sympa mais je trouve qu'il n'y a peut être au final trop de customisation. Trop de personnalisation tue la personnalisation dans le cas présent. Et pour le système de ocmbat est lui même, ben il est bancal de partout vu qu'il y a des méthodes plus abusives et d'autres qui se perdent complétement au fil du jeu. Dommage. En fait, je trouve que le jeu est bancal partout. FF8 est le Chrono Cross de la saga des FF. Sauf que je n'ai jamais lu quelque part que Chrono Cross n'était pas bancal. Le scénario est une serie de scènes où on peut se dire What the fuck par moment. Enfin bref, il est tout sauf abouti pour moi, et j'arrive pas à voir en quoi on peut le trouver finalisé même s'il reste sympatoche à mes yeux. A chaque fois que j'entends tout ça sur FF8, c'est surtout par nostalgie. Car pour l'avoir refait récemment, bah il est atypique, mais pas finalisé. C'est une oeuvre qui a marqué mais qui en soi est perfectible. FF12 : En même temps, Jeffou, pour aimer ces ballades d'un point à un autre, faut aimer l'ambiance Monster Hunter, surtout avec les contrats. J'trouve ça chiant, perso. Mais bon, après le scénario est pas totalement à jeter. La narration est pourrie mais le background est bon, c'est juste le scénario est moins impliqué que dans les FFs précédents. On est largement moins au coeur du récit, on se cantonne à faire des choses qui n'ont à nos yeux que peu de répercussions importantes mais qui jouent un rôle majeur dans l'aspect politique du soft. C'est déroutant, mais bon ça a toujours été quelque chose comme ça avec les jeux de ce studio. FF10 : Toujours pour Jeffou La VO de FF10 est la version jap, pas la version américaine. Enfin, moi, je trouve que les voix jap vont bien mieux dans ce genre de jeux. Bon, par exemple, Metal Gear Solid ou Resident Evil proviennent de boites japonaises, mais les voix anglaises collent mieux à mon sens car il s'agit de personnes américaines à la base. Alors qu'un RPG n'a à proprement parler pas de nationnalité au vu du monde dans lequel il se déroule. Je trouve le doublage jap mieux du coup .. j'sais pas pourquoi. P'tet car les voix anglaises sont généralement des voix à chier et qui cassent les burnes ? A y réflechir, je crois que je n'ai que rarement vu des doubleurs pas chiants dans les RPGs. C'est toujours dans ceux là qu'on a les plus clichés, les plus exagérés je trouve (et les plus chiants). Le doublage des deux jeux cités plus haut est hautement plus consistant en tous cas (en anglais je parle). [Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 22 novembre 2010 à 10:06] |
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| JasMouse
Domino
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Jeffou : - FFIX : merci pour Tarask, je l'avais zappé celui-là ! J'avoue aussi que l'histoire Djidane/Dagua est un lourde à certains passages même si j'ai bien aimé la suivre. - FFX : quand je parlais des voix en anglais, je regrettais justement qu'elles n'ai pas été laissée en VO, ça aurait rendu mieux je trouve. Niveau linéarité c'est vrai que le scénario m'a, un peu, pas beaucoup, déçu, offrant moins de liberté : on est à Besaid, on va à Kilika, à Kilika on go to Lucas, etc. C'est l'aspect pèlerinage qui veut ça m'enfin on est pas très libres quoi. Enfin je trouve. - FFX-2 : désolé pour Rikku, je me repends Sinon quand je dis "Yuna ne ressemble plus à rien" c'est que je la trouve trop différente de l'opus X. Fréquenter Tidus l'a changée mais pas à ce point quoi... Cool de zapper les cut-scenes, je le ferais si je retente une partie ! Pour finir je te comprends, le X-2 est quand même sympathique !- FFXII ok, les paysages sont magnifiques mais... trop immenses voilà, limite MMORPG... Vive les bonnes vieilles cartes du monde à la FFVII ! Zell : - FFII : inventif certes mais trop différent du précédent que j'ai mieux jugé car genèse oblige ! - FFV : je ne sais pas pourquoi mais il a m'a plus touché que FFIV, c'est pour ça que je l'ai placé légèrement au dessus. - FFVIII : je reconnais que, parfois, le mode de jeu nous embrouille et peu paraître peu abouti et confus, mais une fois maîtrisé, les coups s'enchaînent avec plaisir. Ok, certaines techniques partent dans tous les sens et ça fait gros fouillis mais j'ai aimé ça. Adoré même  Chacun son point de vue, sans rancune Zell ? - FFXII : bien résumé. - FFX : totalement d'accord sur les histoires de doublages Voilou, voilou. 1+1=3 L'Amour comme Epée, l'Humour comme Bouclier ! Un est tout. Tout est un. Adagio, invocateur ! |
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| JasMouse
Domino
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Je ne pouvais pas finir ce dossier sans une référence au site ffdream et aux images des meilleurs moments de la saga ! Les Meilleurs Moments 1+1=3 L'Amour comme Epée, l'Humour comme Bouclier ! Un est tout. Tout est un. Adagio, invocateur ! |
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Aumeron
 Dio 
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[Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 10 mars 2011 à 01:42] |
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| Aeris-sama
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 Sho... Sho.... Shoooogun kayooooo ! |
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